Elle ne se souvient plus de son nom d’avant. Avant d’être enlevée à 7 ans par des marchands d’esclaves. De marcher pendant des jours sous un soleil écrasant. D’être battue, violentée, humiliée, rabaissée tel un animal. De devoir s’appeler Bakhita ( « La chanceuse » ! ) et de changer fréquemment de maîtres, tous aussi cruels les uns que les autres. Jusqu’à ce que, des années plus tard, le consul d’Italie la rachète et l’emmène dans son pays. Changement de vie. Elle devient « Moretta » ( « La foncée » ) , bien longtemps avant d’être connue comme Ste Joséphine Bakhita, béatifiée en 1992 et canonisée en 2000.
De son écriture hachée, à la fois terriblement dure et très belle, Véronique Olmi nous fait découvrir ce parcours hors du commun, douloureusement chaotique et pourtant lumineux. Un prix du Roman Fnac largement mérité.
Bonne lecture !
Dans le cadre de leur première année de Master Gestion des territoires et développement local parcours DTAE, des étudiants de l’Université...
Ce samedi 15 octobre, la commune de Tarzy inaugurait l’Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, après presque 4 ans de travaux.