Seul, nouvelle création de la compagnie en résidence à Liart

Nouvelle créa­­­­tion de Thierry Charles et de la compa­­­­gnie L’Hor­­­loge qui ne sonne pas, ce spec­­­­tacle poétique s’adresse à un public scolaire mais aussi au grand public. Une invi­­­­ta­­­­tion au voyage et aux rencontres.

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La compa­­­­gnie L’Hor­­­­loge qui ne sonne pas, compa­­­­gnie profes­­­­sion­­­­nelle instal­­­­lée Liart, qui va bien­­­­tôt fêter ses 10 ans, a présenté sa nouvelle créa­­­­tion inti­­­­tu­­­­lée Seul.

En rési­­­­dence de créa­­­­tion, la compa­­­­gnie a proposé des repré­­­­sen­­­­ta­­­­tions aux scolaires et au grand public le jeudi 24. 

Cette nouvelle créa­­­­tion de Thierry Charles, comé­­­­dien de la compa­­­­gnie, est comme à son habi­­­­tude un spec­­­­tacle qui mêle théâtre, mouve­­­­ments, musiques, sons, mani­­­­pu­­­­la­­­­tions d’objets… et qui laisse une large part à l’ima­­­­gi­­­­naire de chacun et surtout au jeune public.

« C’est l’his­­­­toire d’un person­­­­nage qui veut fuir, fuguer. Un person­­­­nage qui veut retour­­­­ner, reve­­­­nir à la nature, qui tente encore de rêver, qui marche. Je marche pour réflé­­­­chir, pour me laver l’âme. Un person­­­­nage aux semelles de vent, qui veut revivre des sensa­­­­tions, explique l’ar­­­­tiste. À travers la ques­­­­tion pourquoi sommes-nous si seuls, un person­­­­nage décide de vivre le poème “Sensa­­­­tion” d’Ar­­­­thur Rimbaud. Un voyage qui s’ap­­­­pa­­­­rente à une fugue, il n’a ni desti­­­­na­­­­tion ni durée précise, il veut aller au hasard, très loin, vers une sorte d’in­­­­fini, de voyage sans retour. »

Ce spec­­­­tacle est un voyage fait de rencontres : des sentiers, le vent, le rêve, la nature, l’amour…

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