Un dimanche inspirant : ‘Flam(m)e’ ravive l’Esprit Olympique à l'étang de la Motte

En atten­dant les JO de Paris 2024, ce spec­tacle de cirque a mis en lumière l’his­toire de Nadia Coma­neci, une jeune fille de 14 ans qui a parti­cipé aux JO de 1976.
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Hier, dimanche 21 juillet, à l’étang de la Motte de Signy-le-Petit, nous avons eu le plai­sir d’ac­cueillir Clémence, de la compa­gnie SCOM, avec le spec­tacle « Flam(m)e » et Laura, régis­seuse. 

En atten­dant les JO de Paris 2024, ce spec­tacle de cirque a mis en lumière l’his­toire de Nadia Coma­neci, une jeune fille de 14 ans qui a parti­cipé aux JO de 1976. Nadia a remporté plusieurs médailles d’or et est deve­nue la première athlète à obte­nir un score parfait de 10/10 aux JO. L’his­toire est inspi­rée du roman de Lola Lafon, « La petite commu­niste qui ne souriait jamais ». 

Nadia Coma­neci, née en Rouma­nie, est deve­nue une icône mondiale après ses perfor­mances aux Jeux Olym­piques de 1976 à Montréal. Elle a remporté cinq médailles d’or olym­piques au cours de sa carrière. Après sa retraite de la gymnas­tique, elle a connu une vie mouve­men­tée, y compris une fuite drama­tique de la Rouma­nie en 1989, juste avant la chute du régime commu­niste de Nico­lae Ceaușescu. Instal­lée aux États-Unis, Nadia a épousé l’an­cien gymnaste améri­cain Bart Conner en 1996. Ensemble, ils gèrent plusieurs entre­prises, y compris une école de gymnas­tique et une fonda­tion cari­ta­tive. Nadia conti­nue d’ins­pi­rer les géné­ra­tions de jeunes athlètes par son enga­ge­ment dans le sport et son travail philan­thro­pique. 

Malgré des condi­tions météo­ro­lo­giques incer­taines tout au long de la jour­née, une quaran­taine de personnes, touristes et locaux confon­dus, ont eu le plai­sir d’as­sis­ter à ce spec­tacle de qualité et à la perfor­mance de Clémence. Parmi le public, nous avons eu l’hon­neur de rece­voir, entre autres, des mots parti­cu­liè­re­ment touchants d’une touriste d’ori­gine russo-ukrai­nienne. Elle a exprimé son admi­ra­tion pour le spec­tacle, expliquant que celui-ci lui rappe­lait, d’une certaine manière, une partie signi­fi­ca­tive de son histoire person­nelle. 

Le soir même, à la télé­vi­sion, était diffusé le docu­men­taire « Nadia Coma­neci, la gymnaste et le dicta­teur », offrant une pers­pec­tive complé­men­taire sur la vie de cette athlète excep­tion­nelle et sa rela­tion complexe avec le régime de Ceaușescu. Clémence a souli­gné que, bien que le docu­men­taire soit inté­res­sant, il ne reflé­tait pas entiè­re­ment la véri­té…

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